C’est le troisième de la série et Aurel Timescu est fidèle à lui-même. Je suis tombée sous le charme du petit consul habitué des affectations les plus calamiteuses.
Et pourtant, cette fois-ci, surprise ! Il est nommé à Bakou, capitale de l’Azerbaïdjan. Une ville au charme suranné, au climat doux et aux terrasses de café qui rappellent les terrasses parisiennes. Pour un peu, Aurel dérogerait à son habitude et essaierait de travailler un peu pour garder ce poste. Oui, mais tout ça, c’était avant que Aurel Timescu fasse la connaissance du chef de poste !
Alors qu’Aurel s’apprêtait à ressentir de l’empathie pour cet homme dont l’épouse vient de mourir accidentellement, il en est pour ses frais devant l’arrogance et la méchanceté de l’individu.
Et justement, Aurel se pose des questions sur la mort mystérieuse de cette femme. Et voilà, il s’avère qu’il n’est pas le seul à se poser des questions. Il n’en faut pas plus pour que Aurel se lance dans une enquête entre mafias et grands contrats internationaux.
« Le Flambeur de la Caspienne » de Jean-Christophe Rufin aux Edts Flammarion